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"Toute photographie donne à voir un mouvement qui s’est arrêté. Mais c’est justement parce que ce mouvement est montré arrêté que notre imagination a le pouvoir de le mettre en route. Il n’est pas une mort, et encore moins un embaumement, il est littéralement une suspension. Et cette suspension place la photographie au plus près de l’acte de fétichisation". - S. TISSERON

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